Elisabeth Rioux est allée au secondaire avec Philippe de OD et dévoile comment il était
L’influenceuse et femme d’affaires Elisabeth Rioux a dévoilé sur Instagram connaître Philippe de OD Martinique depuis plusieurs années, et voici ce qu’elle avait à dire.
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Dans les derniers jours, on a vu le public réagir fortement à de l’intimidation entre candidats à OD, puis la production a finalement réagi en évinçant les fautifs. Parmi ceux-ci, on retrouve Philippe.
En Story sur Instagram, Elisabeth Rioux a voulu adresser la situation puisqu’elle dit recevoir plusieurs messages à ce sujet.
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D’abord, elle a expliqué qu’elle n’écoutait pas habituellement OD. Par contre, elle suit cette saison puisque son amie Catherine, qui s’est elle-même retrouvée au milieu d’une controverse, y participe.
Au sujet de l'intimidation et plus particulièrement de Philippe, voici ce qu’Elisabeth avait à dire: «Phil... j’ai été au secondaire avec. Ouin, à la grande surprise».
La jeune femme continue d’un silence qui veut tout dire. «J’ai déjà reçu un commentaire de Phil d’OD quand j’étais au secondaire, je ne sais même pas s' il s’en rappelle», explique-t-elle.
Elisabeth continue en disant qu’elle n'était pas populaire, contrairement à Philippe qui était «le cool». Il était aussi 2 ans plus vieux qu’elle, soit en secondaire 5 lorsqu'elle était en secondaire 3.
La jeune femme raconte qu’à l’école, elle se faisait souvent intimider puisqu’elle publiait tous les jours des photos d’elle sur Facebook, parfois pour la boisson Swag. Ceci était avant que le terme «influenceur» soit populaire.
Elisabeth raconte donc qu’un jour, Philippe lui a crié «Swag!» dans un corridor de l’école. Elle précise cependant qu’il n’était pas le seul à agir de la sorte et que plusieurs personnes l’appelait «la fille swag».
Elle conclut son témoignage en disant que Philippe n’était pas le pire parmi ses intimidateurs.
Elisabeth termine en disant qu’il faut cesser de parler d’intimidation en faisant de l’intimidation, comme par exemple parler du physique des autres. Elle suggère plutôt de voir le côté positif de la chose, «si tu te fais écoeurer pour quelque chose, c’est que tu es différent pis c’est correct d’être différent».
Elle précise cependant que c’est important de pointer ceux qui intimident les autres. En parlant de Philippe, elle dit «Quelqu’un qui était de même au secondaire et qui est encore de même 10 ans plus tard ça démontre que peut-être que dans sa vie il n’est jamais passé par du monde qui lui ont dit “hey, arrête-la” donc c’est important de le faire en ce moment, mais est-ce qu’on peut le faire, mais pas en faisant ce qu’on dénonce?»
On adore sa façon de voir les choses!