Il assiste à la césarienne de sa femme et tente de poursuivre l’hôpital pour 900 M$

Un Australien traumatisé par la césarienne que son ex-femme a subi en 2018 a essayé de poursuivre un hôpital de Melbourne pour près de 900 millions de dollars canadiens.  

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Anil Koppula affirme que le Royal Women’s Hospital de Melbourne, dans le sud-est de l’Australie, l'a «encouragé» ou «autorisé» a assisté à l'accouchement de sa femme lors duquel elle a subi une césarienne. Le fait de voir les organes de sa femme et du sang lui aurait causé un préjudice psychologique, selon le document de la poursuite. Il soutient avoir développé des problèmes psychologiques en raison de l’opération. 

L’homme, qui se représentait lui-même, réclamait à l’institution pour 1 milliard de $ australiens, soit quelque 868,2 millions de $ canadiens. Un tribunal a rejeté la poursuite.

 Le jugement indique qu’Anil Koppula a intenté un procès plusieurs années après la césarienne, après que ses problèmes psychologiques, possiblement causés par la césarienne, ont mené à «l’effondrement de son mariage».

Selon le jugement, la loi n'autorise pas une personne à obtenir des dommages-intérêts s'il n'a pas subi de perte économique, sauf s'il a subi un «préjudice significatif». Le tribunal a conclu que le préjudice subi par Anil Koppula n'est pas suffisamment important pour justifier une telle poursuite. 

Pour les néophytes en la matière, une césarienne est une opération chirurgicale qui consiste à couper le ventre et l’utérus de la mère pour sortir le bébé qui ne peut pas sortir par voie vaginale. Au Québec, près d’une femme sur quatre accouchera par césarienne, selon l’Institut national de santé publique du Québec.

− Avec les informations de 7News

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